Quelques échos du Passé

Tentatives de retrouver dans une mémoire qui s’appauvrit quelques traces du Passé.

Papa avec Christian et moi. Pierre ne figure pas surf cette photo donc sans doute avant juin 1944

Libération de Cannes 23/27.08.1944 début de la rue georges clémenceau où j’habitais. Je suis peut être dans la foule aux bras de mon père ?

Quelques mots, quelques noms qui demeurent encore à la surface de cette mémoire sur mon enfance cannoise :

33, rue georges clémenceau/Le Riou/La cour du seize/Place Massuque, Notre Dame d’espérance, catéchisme, communion, école Mont Chevalier, Abbé Otta,, Patronage, Collège Jules Ferry, Tour de France sur le sol du seize rue G. Clémenceau, Compagnie des Iles de Lérins, Prix décerné à l’ancien palais du festival de Cannes, autographes quémandées aux artistes présents au festival du cinéma de Cannes, rue d’Antibes, Friquette ma cousine, Oncle Maurice rue d’Antibes, Cinéma au patronage de Notre dame d’espérance (actuellement devenu Musée), Théâtre : La pastorale jouée sur au théâtre situé Place de la Castre, bureau de mon père avec sa bibliothèque de « Masques jaunes »/Nouvel Hôtel devant la gare (hôtel tenu par le mari (Jo Savini) de ma tante et marraine Renée Vermersch/ Villa Lecler (route vers La Bocca où nous allions avec le patronage)/A côté de mon père dans une traction avant/

Ecole de la Castre (à l’époque école du Mont Chevalier ?). Dernière année de primaire avant de rejoindre l’année suivante le Lycée Jules Ferry (âge : 10 ans ?)

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A gauche du clocher sous l’arbre un bâtiment avec 3 fenêtres : il s’agit de l’école Mont Chevalier. Dernier scolaire avant rentrée en sixième au Lycée Jules ferry.

Ecole du Mont Chevalier vue du Suquet

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Rue de la Rampe (parallèle à rue G. Clémenceau) devant Place Massuque. 1944 suite explosion.
En haut de ces escaliers qui descendent sur la place Massuque il y avait la rue G. Clémenceau (qui s’appelait peut être donc rue de Fréjus) où nous habitions au numéro 33.
Peut être une image de plein air et texte qui dit ’CANNES. - VUE GÉNÉRALE PRISE DU MONT CHEVALIER.’
Le Cannes que j’ai connu. Je ne sais pas de quand date cette photo. A première vue le bord du port avec ses bateaux de pêche. L’ancien casino municipal au fond. Par contre je n’aperçois pas au fond (coin du port en haut) le site du départ des bateaux pour les Iles de Lérins.
Place Massuque. A droite le quai st Pierre et le port.

Photos copiés à partir d’internet :

Colonie de vacances de la Paroisse Notre Dame d’espérance. Monastère de Saorge (1948, 49 ?)

Cellule de Droite où me semble-t-il je dormais.

Le réfectoire où nous mangions.

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Nice

Le port de Cannes côté quai st Pierre en 1955 (nous étions déjà partis de Cannes pour Nice en 1953/1954)

Vieille photo pour illustrer un des lieux où j’ai habité. Il s’agit de cet immeuble à droite juste avant l’Opéra de Nice. Curieusement on aperçoit alors que la photo est légendé 1876 un établissement de bains et il se trouve que le samedi il est arrivé que nous allions mes frères et moi prendre un douche dans ce lieu en 1952*1953… C’était l’époque où je fréquentais le lycée Masséna (en vérité ma classe de cinquième s’est surtout passé en « école buissonnière et j’ai du retourner à l’école primaire où j’ai passé mon certificat d’études pour ensuite intégrer l’école de commerce à Nice)

Ecole Ste Hélène à Nice en bordure de la promenade des anglais. Aujourd’hui remplacé par un hôtel. J’ai intégré cette école après m’être fait virer du lycée Masséna pour absences répétées. J’y suis resté un an pour passe le certificat d’études primaires pour ensuite intégrer l’école hôtelière rue de France à Nice en section commerce (école aujourd’hui disparut à cet endroit). Quelques temps après la sortie de l’école de commerce j’ai trouvé un emploi au Comptoir des combustibles du Littoral Méditerranéen (CCLM) devenu Châtel § Dollfus puis SCAC emploi d’employé de bureau (gaz et hydrocarbures mais surtout et cela semble incroyable à Nice fabrication de boulets de charbon). Ensuite à l’orée de la fermeture j’ai rejoint Confort et climatisation de la Côte d’Azur à La Trinité devenu Cophoc et Shell Direct. J’ai terminé là ma carrière avec quelques déménagements au poste de Chef d’agence m’occupant des agences des Alpes-Maritimes et du Var. Comme la vie est curieuse un parcours dans les combustibles, des fragilités, des opportunités et un peu de chance…..

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Départ pour l’Algérie destination ex Bône puis direction Batna pour 6 mois (1.06.62 ?) sur bateau Athos 2 (merci Francis Giuseppi dr Marseille). Cela après « classes » à Carpiagne et ensuite caserne du Muy à Marseille.

Service militaire de 20 mois (classe mai 1961).

Au premier plan Francis Giuseppi mon copain marseillais moi accroupi à droite.

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